La princesse Charlène de Monaco, a vécu une période particulièrement éprouvante. Depuis son retour d’Afrique du Sud où elle avait séjourné pendant plusieurs mois, elle s’est réfugiée dans une clinique de Suisse pour faire face à un épuisement intense. En novembre dernier, lors de l’annonce de son hospitalisation, son époux, Albert de Monaco avait brisé le silence sur les rumeurs entourant sa chère et tendre.
« Chacun y est allé de sa petite théorie et de son petit commentaire. (…) Charlène a besoin de calme, de repos, de tranquillité et d’apaisement. Il faut que tout le monde comprenne ça. Je le dis gentiment : laissez-la tranquille, laissez-nous tranquilles pendant quelque temps. », a confié le prince souverain de Monaco.
Avant d’ajouter : « Je veux insister là-dessus car je connais les rumeurs, la princesse ne souffre d’aucune maladie grave ou incurable. Ce n’est pas davantage un problème de couple. Notre couple n’est absolument pas en danger, je veux être clair sur ce point. C’est la conséquence de toutes les opérations qu’elle a subies depuis quelques mois. Là aussi, je dois rétablir la vérité : il n’y a eu aucune opération de chirurgie esthétique ; c’étaient uniquement des problèmes dentaires, de cloison nasale et de sinus. »
Pendant son absence en Afrique du Sud, une ex rivale a refait surface dans la vie d’Albert de Monaco. Il s’agit de Nicole Coste, qui est la mère du jeune Alexandre. Le fils illégitime d’Albert de Monaco, qui a été reconnu récemment par son illustre père. Alors que Charlène de Monaco devrait fait son grand retour au Rocher dans les prochains jours, elle a réclamé à ce que Nicole Coste ne soit pas dans les parages.
D’autant plus que l’ex hôtesse de l’air, Nicole Coste n’a pas manqué d’accorder des interview sur sa place dans la famille princière en l’absence de la princesse Charlène de Monaco. « Il est né d’un amour et reconnu, donc voulu par Dieu. J’en suis convaincue. Avant d’être enceinte, j’avais connu une relation de cinq ans avec son père, suffisamment de temps pour que nous ayons une confiance mutuelle. Continuer de dire ou d’écrire que notre fils est un enfant illégitime est incorrect et insultant », a-t-elle indiqué à nos confrères de Paris Match.
Avant de poursuivre : » En bon français, et selon le Code civil, cela signifierait que ses deux parents auraient été engagés maritalement avec d’autres au moment de sa naissance, et que, de surcroît, il ne serait pas reconnu. Or ce n’était nullement le cas. Alexandre est né deux ans avant que ne commence l’idylle entre son père et Charlène en décembre 2005. Avant, ils s’étaient juste croisés. Il est faux de dire le contraire. Je tiens à le souligner, car ce doute a permis à la presse de continuer de faire croire que mon fils était illégitime ».