Jean-Pierre Pernaut n’irait pas aussi bien qu’il veut laisser croire. Il aurait récemment déprogrammé un rendez-vous en raison de son état de santé.

Si Jean-Pierre Pernaut s’exprime très peu sur les réseaux sociaux, il peut compter sur son épouse Nathalie Marquay et sa fille Lou. La première communique très souvent sur la santé de son mari. La deuxième a dernièrement donné des nouvelles de l’ancien présentateur du JT de 13H de TF1.

Une manière aussi pour Lou Pernaut de répondre à ses détracteurs sur la toile. « Mon père va bien, je l’ai tous les jours au téléphone, tout va bien ne vous inquiétez pas. En plus de cela, vous ne savez pas à quel point ma mère est présente pour mon père », a-t-elle écrit avant de répliquer plus clairement à ce hater.

« Alors qu’elle passe toutes ses journées avec mon père. Ca peut faire mal à la famille quand tu emploies des mots comme ça, tu n’es personne pour juger la vie des autres? C’est juste de la connerie et de la jalousie! », a-t-elle poursuivi. Une sortie qui lui a certainement fait du bien, mais ne dit peut-être pas toute la vérité au sujet de son père.

Jean-Pierre Pernaut ne serait pas au mieux de sa forme depuis quelques temps, alors qu’il a subi il y a quelques semaines un Pet-Scan. Il s’agit d’un examen d’imagerie médicale qui permet d’identifier une tumeur cancéreuse et/ou métastases de sorte à pouvoir surveiller de près son évolution.

Victimes à trois reprises de mini AVC depuis qu’il est rentré des Malsives, où il passé les fêtes de fin d’année avec les siens, l’ancien pape du JT a décidé de ne plus « présenter le journal télévisé de l’Auxerroiss le 9 février. C’est Jean-Marc Sylvestre, un ancien journaliste de TF1, qui le remplaçcera à cette tâche. Jean-Pierre Pernaut a « dû décliner l’invitation pour des raisons de santé ».

Fin novembre 2021, le journaliste a révélé qu’il était atteint d’un cancer du poumon, trois ans après avoir vaincu celui de la prostate. « Au début du printemps, on a découvert une petite tumeur et on a décidé de m’opérer », a-t-il expliqué, précisant que « durant l’été, on a découvert que l’autre avait explosé en taille et qu’il faisait quatre centimètres. C’est pour ça qu’on a vite entamé une séance de radiothérapie ».